Des militants de Greenpeace sont entrés dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine et ont réussi a monter sur le toit de la centrale.
L’association internationale de défense de l’environnement a ainsi démontré, encore une fois, que la sûreté nucléaire n’existe pas. Greenpeace,
par son action, prouve que la France n’est donc pas à l’abri d’un accident nucléaire.
Faiblesses techniques et malfaçons repérées, coûts exorbitants, statistiques défavorables, risque sanitaire, malédiction des déchets, et aujourd’hui
manque de sûreté, risque d’attaques terroristes et insécurité flagrante… Greenpeace, par son action, prouve que la France n’est donc pas à l’abri d’un accident nucléaire.
Nous devons tous comprendre, élus y compris, que le risque terroriste et le risque humain doivent être enfin pris très au sérieux.
Les autorités nucléaires et le gouvernement doivent impérativement sortir du déni et prendre conscience que la sécurité nucléaire française est défaillante.
Au moment où le gouvernement persiste dans le nucléaire, optons plutôt pour une politique ambitieuse tournée vers la sobriété énergétique, les économies d’énergie et le développement des énergies renouvelables.
Le comité aubois EELV adresse tous ses remerciements à Greenpeace d’avoir prouvé que le nucléaire sans danger n’existe pas plus à Nogent qu’à Tchernobyl ou à Fukushima.
Maxime Beaulieu / Porte-Parole
pour le Bureau Europe Ecologie/Les Verts Comité Grand-Troyes Aube
A suivre sur le site de Greenpeace
http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/nucleaire/Nucleaire–au-coeur-du-reacteur–liveblog/